samedi 8 janvier 2011

De l'Energie Vitale à l'électromagnétisme


Toutes les cultures de l’histoire de notre planète ont décrit l’existence d’une Énergie Vitale du corps humain. Les Indiens l’appellent « Prana », les Chinois « Chi » ou « Qi », les Japonais « Ki », les Grecs « pneuma ». L’étymologie du mot Énergie vient du Grec « en orgos » qui signifie « contient l’action en puissance ».

Les Traditions orientales et les démonstrations scientifiques les plus récentes se rapprochent car elles nous indiquent, chacune à sa manière, que nous sommes constitués d’Énergie et que l’Énergie nous environne.

La notion d’Énergie Vitale est facile à comprendre si on la considère comme une forme
d’Energie électromagnétique, avec des charges électriques très faibles. Tout comme l’électricité permet à un transistor d’émettre des sons et à une ampoule de s’éclairer, c’est grâce à l’Énergie Vitale que notre organisme peut fonctionner.

L’impression ressentie lors de la pratique d’exercices énergétiques traditionnels asiatiques comme le Chi Kong ou le Tai Chi Chuan, est celle d’une source brillante et chaude, discrètement chargée électriquement, qui circule librement dans le corps, le long des méridiens. Lorsque l’Énergie Vitale est bloquée et stagnante, des douleurs peuvent survenir. La libre circulation de l’Énergie Vitale stimule la circulation du sang et de tous les fluides de l’organisme, apportant calme et Bien-être. Il est possible d’avoir une sensation de fourmillements à l’extrémité des doigts, ou dans d’autres parties du corps, le long des méridiens d’acupuncture.

La pratique régulière d’exercices énergétiques et respiratoires augmente la puissance du flux énergétique circulant.

Dans la Tradition Asiatique, les termes Yin et Yang désignent deux éléments à la fois opposés et complémentaires, à l’origine de l’Univers.

Pour la Médecine Traditionnelle Asiatique, l’équilibre des Énergies Yin et Yang est le fondement d’un bon fonctionnement énergétique de l’organisme: un excès de Yin correspond à un « manque » d’Énergie Vitale, à combler, alors que l’excès de Yang traduit un « trop-plein » énergétique auquel il faut également remédier.

Lorsque l’équilibre a été rétabli, il est plus facile d’entrer dans un état d’Harmonie intérieure: mentale, émotionnelle, physique, psychologique et Spirituelle.


Le Qi des Chinois, l’imagination et la science

Les voies de circulation de l’Énergie Vitale, appelés Méridiens se retrouvent chez tous les Êtres vivants, y compris dans le règne végétal (même si les experts en acupuncture végétale sont rares!) et peuvent être comparés à un système d’irrigation très complet d’une Oasis: imaginez un système d’irrigation avec un ensemble de tuyauteries de toutes tailles et au fil des canalisations des point d’eau réguliers, des dérivations, des bassins collecteurs, des pompes, des écluses: si une partie du circuit manque d’eau, des vannes permettent de rétablir un écoulement correct, alors qu’en cas de trop-plein, c’est un déversoir qui peut entrer en action. Imaginez un système parfait, dédié à la meilleure circulation possible de l’Eau, fluide Vital par excellence!

Les voies des Méridiens sont produites par la Vie et disparaissent avec elle. Au XXe siècle, les Méridiens et les points d’acupuncture ont fait l’objet de recherches scientifiques. En novembre 1997, l’Institut National de Santé Américain a reconnu l’action de l’acupuncture dans les nausées, les migraines, les crampes, les maladies inflammatoires, les douleurs. Dans les années 1980, une étude française à mis en évidence des tracés se superposant aux tracés théoriques des Méridiens, après injection d’un traceurs radioactif à la naissance des Méridiens au niveau des mains ou des pieds.  Sous des appellations diverses, l’Occident a petit à petit redécouvert des points connus des Chinois, sous lesquels ont été mis en évidence des terminaisons nerveuses, capteurs sensoriels ou corpuscules divers! Un médecin marseillais a réalisé des mesures de conductivité et a découvert que la peau est ponctuée de « puits de résistance minima », 20 à 50 % moins résistants (donc plus conducteurs!), qui sont symétriques et qui coïncident avec les points d’acupuncture: comme un réseau de lignes électriques « incorporées » à l’organisme, accessibles par les points d’acupuncture! Dans les années 80, la présence de couronnes d’électrons a été visualisée au dessus des points d’acupuncture confirmant l’hypothèse émise en 1943 par le prix Nobel de physiologie, sur la capacité de nos cellules à s’assembler pour laisser passer les électrons sans perte d’Énergie, comme les semi-conducteurs (composés à la base de l’industrie électronique et de la fabrication des ordinateurs, télévisions, téléphones portables, ...).


Méridiens d’acupuncture et respiration cutanée

Le Taoïsme désigne les Méridiens par le mot « Li » qui signifie rivière ou cours d’eau et qui indique donc une notion de mouvement, quelque chose qui n’est pas figé.
L’état correspondant le plus proche en terme de matière/énergie est la vapeur d’eau: comme dans les nuages (à la différence de l’état solide ou liquide, l’eau sous forme gazeuse est de l’Énergie pure). Les Méridiens seraient des couloirs de vapeur d’eau (molécule d’eau isolée, dissociée qui s’exprime alors en onde, une onde électromagnétique).
Ainsi les Méridiens seraient des couloirs d’orientation électromagnétique où les molécules d’eau à l’état gazeux s’aligneraient les unes derrière les autres, comme des fourmis.
Ces voies communiquent vers l’extérieur par des petits trous (appelé stomates chez les plantes). La vapeur d’eau qui en sort est appelée perspiration, c’est un phénomène de respiration cutanée qui n’est connu que depuis une soixantaine d’années.

Si l’on prend une photographie par infrarouges, on peut voir perler des étoiles sur le corps au niveau des points d’acupuncture: qui se ferment ou s’ouvrent en fonction des conditions extérieures et aussi de l’état émotionnel. Cette respiration cutanée est complémentaire de la respiration pulmonaire mais elle est plus « pure » en ce sens qu’elle évacue sous forme gazeuse des déchets énergétiques alors que l’eau de la sueur, sous forme liquide évacue les déchets organiques.

Ainsi, les molécules d’eau organisées en longues chaînes plus ou moins stables tisseraient des ponts semi-conducteurs traversés d’un courant énergétique continu formant les Méridiens.

Le Cœur, un électro-aimant!

Au gré de ses battements, notre Cœur irradie un champ électromagnétique pulsé dont la puissance est considérable à l’échelle des mesures biologiques. Centré sur la poitrine, le champ magnétique du Cœur nous encercle comme une sorte de bouée. La preuve du magnétisme cardiaque est connue depuis 1963 (1970 pour le cerveau, mille fois plus faible!): nous sommes capables de le mesurer mais le mystère demeure pour la science sur son origine même si elle a démontré sa propagation au-delà de nous, jusqu’à 50 cm de distance.

Mais c’est lorsque les peaux de deux individus se touchent que l’Harmonisation inconsciente est la plus marquée et la plus synchrone, si chacun entre dans un état de cohérence cardiaque - c’est à dire un état de Calme, de Bien-être, de Bienveillance et Paix qui s’accompagne d’une régularité du rythme cardiaque - il suffit alors de se tenir les mains. L’amplitude du signal sera la plus importante si c’est la main droite de l’un (le donneur) qui tient la main gauche de l’autre (le receveur).

La pensée et les émotions

La neurobiologie occidentale moderne considère que la pensée se situe quelque part dans l’agrégat cellulaire qu’est le cerveau (100 milliards de neurones, chacun à l’origine d’un écheveau de filaments et de ramifications nerveuses, créant un réseau pouvant aller jusqu’à 5000000 interconnexions avec des centaines d’agents chimiques). Pour la Médecine Traditionnelle Asiatique, le cerveau ne serait pas le siège de la pensée en lui-même. Les textes antiques répartissent l’activité mentale et psychique au sein de l’organisme, entre le Cœur, le foie, la rate, les reins et les poumons.
Pour la Médecine Traditionnelle Asiatique, les poumons assurent les automatismes inconscients et actions réflexes. Le foie donne la pulsion de Vie qui inspire les rêves, les désirs et les projets. La rate assimile les expériences et la connaissance (très sollicitée si dominante intellectuelle ou cérébrale des activités). Les reins fédèrent l’esprit de décision, la volonté, la détermination, l’affirmation de Soi. Au Cœur revient la Conscience (de la faculté de jugement à la compassion, ainsi que l’aptitude au discernement ou « intelligence du Cœur») qui gouverne les autres.

Ainsi, les Énergies mentales et psychiques seraient « cinq Esprits viscéraux », le cerveau étant lui considéré comme un support nerveux, un centre de tri mental chargé de rendre cohérentes les informations intellectuelles.

Electrosensibilité

L’électrosensibilité serait une forme d’allergie particulière, récente et en pleine progression dans les pays industrialisés, qui se produit en présence de champs électromagnétiques.
Il s’agit d’une réaction de type immunitaire par rapport à un agent extérieur. Le corps produit
alors le même type de réaction biochimique que dans le cas d’un rhume des foins ou d’une crise d’asthme, l’agent irritant semblant être l’onde ou le champs électromagnétique émis par les appareils électroniques, les ordinateurs, les téléphones mobiles ou sans fil, etc. Les manifestations physiques prennent diverses formes: hypertension, insomnie, état dépressif, trouble neurologique, perte de cheveux, etc.
Pour le Dr J-P Maschi, l’ensemble de notre environnement moderne contribuerait à électriser notre organisme: « la pollution électrique provoque une lente et progressive électrocution », continuelle, de faible intensité, fabriquant le terrain de maladies dites « de civilisation »: troubles osseux, cardiaques, neurologiques, etc. (analogues à ceux relevés en quelques semaines chez des rescapés d’une électrisation accidentelle!), dont la sclérose en plaque (la saturation en charges électriques provoquerait une surtension des influx nerveux d’où un échauffement des « gaines isolantes » autour des fibres nerveuses: un effet Joule biologique qui ferait « fondre » la myéline, par absence de mise à la terre!).
En fonction des prédispositions de chacun, le corps devient de plus en plus sensible aux champs d’Énergie non ionisants. Ces effets sont étudiés par les scientifiques russes depuis plus de 50 ans: dérèglement du système endocrinien, perturbation du système immunitaire puis une sorte d’épuisement généralisé.
Pour mettre notre organisme à la Terre: se passer régulièrement les mains sous l’eau froide, marcher pieds nus (si possible dans l’herbe couverte de rosée ++).

Météorosensibilité

Connus depuis des millénaires, des phénomènes physiques tels que excitation, irritabilité, sensation d’oppression, gênes articulaires, etc. peuvent être ressentis par temps orageux ou en cas de changement climatique soudain. Ils ont abouti au début du XXe Siècle à la biométéorologie, qui étudie les réactions de l’organisme par rapport au changement de temps. 30% de la population seraient « météorosensibles », surtout les enfants et les personnes âgées, même si on ne sait pas vraiment pourquoi: masses d’air chaudes ou froides, pressions/dépressions, influence gravitationnelle…? une certitude, l’électricité atmosphérique joue un rôle essentiel! L’air est chargé d’électricité, d’ions positifs ou négatifs, de petites molécules d’azote ou d’oxygène électrisées issues de la haute atmosphère et des forêts, etc. à l’origine d’un champs électrique naturel variable, mesuré au niveau de la mer à environ 150 volts par mètre (par beau temps), qui augmente avec l’altitude (1500 v/m à 10 m d’altitude) ou lorsque le temps devient orageux (10000 à 20000 v/m à 1 m au-dessus du niveau de la mer). L’humidité n’accentue pas les douleurs articulaires des personnes souffrant de rhumatisme (sinon ce serait pire en thalasso!) mais les modifications électriques ambiantes oui. C’est pourquoi tout le monde se sent mieux après l’orage, quand l’air a déchargé sont excès d’électricité.

dimanche 2 janvier 2011

L'histoire des "Oméga"


La notion d’Acides Gras « essentiels »
Il y a des nutriments gras indispensables à la vie. Ils sont bien spécifiques : ce sont les acides gras polyinsaturés. Ils sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme mais le corps ne sait pas les fabriquer.
Les acides gras sont des molécules qui composent les graisses. Ils sont constitués de chaînes d’atomes de carbones auxquels sont rattachés des atomes d’hydrogène:
· lorsque les atomes de carbone ne peuvent plus accueillir d’atome d’hydrogène supplémentaire (déjà «chargés» au maximum), ce sont des acides gras de type saturés.
· si les atomes de carbones peuvent encore accueillir d’autres atomes d’hydrogène, ce sont des acides gras dits insaturés (NB: lorsqu’il n’y a de la place que pour un atome d’hydrogène, il s’agit d’acides gras dits mono-insaturés, alors que quand la place est suffisante pour accueillir plusieurs atomes d’hydrogènes supplémentaires, ils sont dits polyinsaturés).
Deux chimistes allemands avaient découvert, après les avoir extrait de la graine de lin, dès 1886, qu’il y avait deux types d’acides gras polyinsaturés, d’où leurs appellations:
· acide alpha-linolénique (futur Oméga 3)
· acide linoléique (futur Oméga 6).
NB: les acides gras mono-insaturés (acide oléique) sont également appelés Oméga 9

Les « Oméga » et le fonctionnement cellulaire
En 1970, des observations mettent en avant le lien entre Oméga 3 et maladies cardiovasculaires. Un épidémiologiste danois remarque l’absence de problème cardiaque chez les Esquimaux du Groenland. Il cherche donc à en définir la cause et observe l’environnement et les habitudes de ce peuple. Il écarte le facteur génétique (les Esquimaux émigrés à Copenhague ont les mêmes problèmes d’infarctus qu’un Danois) et oriente les recherches sur l’alimentation. Très vite, il suit la piste du poisson. Les Esquimaux groenlandais en consomment en effet une quantité conséquente. En 1978, ce scientifique danois (Dyerberg) énonce ses idées sur les vertus cardio-protectrices des Oméga 3 contenus dans les graisses animales du poisson et du phoque. En 1982, une équipe suédoise, qui recevra d’ailleurs un prix Nobel pour ses études, va s’intéresser aux rôles que jouent ces « Oméga » dans nos organismes et tenter d’expliquer pourquoi ces nutriments sont essentiels à la vie. Car si les effets d’une carence en acides gras polyinsaturés ont désormais été démontrés, le mécanisme n’était pas encore connu. Ils observent que ces graisses servent à fabriquer de nombreuses molécules qui agissent au niveau de la cellule comme des hormones. Appelées « médiateurs cellulaires», ces molécules régulent toutes sortes d’effets, comme l’immunité ou l’inflammation, et permettent à nos cellules de communiquer entre elles et d’interagir.

« Oméga 3 » et longévité
Dans les années 70, une autre étude va confirmer l’importance des Oméga 3, l’étude dite «des sept pays ». Le professeur Ancel Keys, accompagné d’une équipe internationale, se lance dès 1958, dans une enquête des plus fastidieuses. En effet, pendant plus de 10 ans, ces scientifiques vont suivre les modes de vie et d’alimentation de plus de 10 000 personnes, afin de déterminer les incidences sur les risques de maladies cardiovasculaires. Les résultats salueront la formidable longévité des paysans de l’île de Crète et leur régime alimentaire, le fameux régime crétois. L’originalité de cette alimentation tient, entre-autres, à ses nombreuses
sources d’Oméga 3.
À l’autre bout du monde, c’est un autre bout de terre qui fait parler de lui. Deux scientifiques japonais vont, en effet, s’intéresser à l’archipel d’Okinawa, qui compte un bon nombre de centenaires. En cherchant le secret de longévité de ses habitants, nos deux hommes observent le faible taux de maladies cardiovasculaires et se penchent sur les habitudes alimentaires locales. Encore une fois, une consommation élevée de poisson et de plusieurs sources naturelles d’Oméga 3 vont, en partie, expliquer ce record d’espérance de vie.


« Oméga 3 » et prévention des maladies
Dans les années 90, plusieurs études vont venir confirmer les nombreuses observations et les hypothèses précédentes. On augmente, grâce aux huiles animales ou végétales, l’apport en Oméga 3 chez des sujets à risques cardiaques: les résultats confirment les théories. Lorsque l’on prescrit des régimes Oméga 3, le taux d’infarctus et la mortalité cardiovasculaire diminuent de façon significative.
L’étude « de Lyon », menée par le docteur Michel de Lorgeril, est l’une des démonstrations les plus probantes: sur un groupe de 300 personnes ayant déjà fait un infarctus, la mortalité cardiovasculaire recule de 80%.
Les vertus des Oméga 3 ne se limitent pas au domaine cardiovasculaire: comme il a été observé, au détour de la Crète et du Japon, ces nutriments essentiels diminuent également la mortalité en général.
Les Oméga 3 sont impliqués dans la réduction des risques de certains cancers, du syndrome dépressif, de maladies neuro-dégénératives comme la maladie d’Alzheimer, etc.

Équilibre oméga 3 / oméga 6
Un déséquilibre en défaveur des oméga-3 s’est considérablement accentué depuis 150 ans avec le développement des huiles végétales. La plupart des huiles, consommée par 65 % des foyers français, sont pauvres, voire carencées en oméga-3 (comme l’huile de tournesol).
Pour que l'apport des Oméga 3 et des Oméga 6 soit efficace et de bonne qualité nutritionnelle, il est conseillé de choisir des produits de qualité biologiques, des huiles non chauffées et non raffinées (c'est-à-dire extraites à froid ou au moins de première pression à froid) des végétaux le plus exempts possible d'engrais chimiques, de pesticides, de fongicides, etc., des poissons sauvages (de petite taille) et de respecter le rapport de « 5 » Oméga 6 pour « 1 » Oméga 3.

Attention !
La chaleur de la cuisson détruit une grande partie les Oméga 3 et les Oméga 6. Il est donc conseillé de consommer crus les aliments qui en contiennent ou de les faire cuire à très basse température.
Seule l'huile d'olive de première pression à froid supporte la chaleur, les autres doivent être consommées crues.

Les sources d’oméga 3 et d’oméga 6
Oméga 3
Origine végétale : huile et graine de lin, huile de noix et noix, graines et huile de chanvre, soja et huile de soja, huile de colza, huile de germe de blé.
Origine animale : poissons et huiles de poissons gras comme le thon, la sardine, le saumon, le flétan, le maquereau, le hareng. La graisse d'animaux, le beurre. Attention: seuls les poissons gras sauvages sont riches en Oméga 3. Les poissons d'élevage ont une composition différente en acides gras, qui est le reflet de leur alimentation (utilisation d'huiles végétales et de farines animales ...).

Oméga 6
Origine végétale : les huiles de pépins de raisin, de tournesol, de noix, de maïs, de bourrache, d'onagre, de carthame, de germe de blé, de soja, de sésame, de colza, d'arachide, de noisette, d'olive. Les margarines au tournesol. La spiruline. Les graines de tournesol, de courge.
Origine animale : les œufs entiers, le beurre, l'huile de foie de morue, la graisse d'animaux.

Oméga 9
Olives et huile d’olive, avocat.