jeudi 28 octobre 2010

1/3 de notre Vie à dormir !


Comment dort-on ?

Le repos nocturne n’est pas une perte de temps, il est un des gestionnaires  de notre Capital Santé. Nous consacrons au sommeil un bon 1/3 de notre existence. Il nous est aussi indispensable que l’air, le soleil et la nourriture. Le sommeil est un état comportemental caractérisé par une réduction d’activité, des postures particulières, la fermeture des yeux, l’hypotonie des muscles, la baisse de réactivité aux stimuli externes, qui permet aux fonctions mentales de subir une réorganisation jusqu’à la perte progressive de la conscience du
monde environnant et l’apparition du Rêve.

A partir des années 1950, il a été possible d’enregistrer l’activité électrique cérébrale, ce qui a montré que l’état de veille se caractérise par des ondes rapides, chaotiques, de faible amplitude et que l’état de sommeil comporte 2 phases (lente puis rapide), se succédant plusieurs fois par nuit.

Nous dormons tous selon un rythme personnel avec des périodes variant selon les individus de 1H30 à 2H et comportant 5 cycles de durée inégale:
· 1= transition éveil/sommeil (sommeil très léger)
· 2 = sommeil léger avec ralentissement des ondes cérébrales / 20 min
· 3 = sommeil profond (peu de réactions aux stimuli extérieurs)
· 4 = sommeil très profond (le plus vital: mise en route des fonctions de réparation de l’organisme par ralentissement des autres fonctions). NB: désorientation du dormeur si réveil forcé à ce stade, avec fatigue résiduelle ++
[phases 1 à 4 = sommeil lent, de 1 heure à 1H30]
· 5 = sommeil paradoxal ou phase « rapide » (dormeur en pleine activité: yeux, respiration, rythme cardiaque irrégulier, mouvements des pieds et mains) qui dure de 20 à 30 min.

Il est possible de connaître la durée de son cycle personnel en notant l’heure d’apparition de signes d’avertissement (tête lourde, bâillement, envie de dormir, etc.) puis en restant éveillé jusqu’à la réapparition de ces signes, dont est notée l’heure. Ceci permet ensuite de ne plus laisser passer le moment propice à l’endormissement et de choisir l’heure de réveil pour qu’elle corresponde à la fin d’une rotation complète d’une ou plusieurs périodes de 5 cycles.

Une sieste en journée est excellente si elle ne se prolonge pas plus d’une vingtaine de minutes (cycles 1 et 2) pour ne pas entrer dans le sommeil profond. Le « truc » de Léonard De VINCI = se détendre dans un Rocking-Chair avec des clés à la main, qui tombent en fin du cycle 2 et réveillent le dormeur à temps !

L’insomnie

L’insomnie, de « in » = sans & « somnus » = sommeil, est un dysfonctionnement du cycle veille-sommeil de 2 grands types:
· occasionnelle: liée à un stress (contrariété, voyage, crainte d’un événement prévu le lendemain, problème de santé, …)
· durable: totale, initiale (regrets du passé ou inquiétudes de l’avenir, lorsque l’anxiété devient intense et persistante) ou terminale (réveils nocturnes ou réveils précoces en cas de troubles de l’humeur ou de ralentissement psychomoteur avec culpabilité et vision pessimiste de l’existence).

L’insomnie est un symptôme de déséquilibre dans notre état de Santé, un signal d’alarme qui devrait nous inciter à revoir notre mode de Vie: si ce signal est négligé, les choses vont s’aggraver jusqu’à ce qu’enfin la personne soit bien forcée d’en tenir compte. Le traitement par le biais de « drogues » chimiques ne permet qu’un sommeil artificiel par suppression de la sonnette d’alarme mais ne permet pas de trouver le chemin de la Guérison.

« Vrais et faux insomniaques »
Il peut y avoir un trouble de la perception du sommeil avec surestimation du délai d’endormissement et/ou du temps passé éveillé au cours de la nuit, donnant au sujet le sentiment de mal dormir ou de ne pas dormir suffisamment.

La « spirale infernale » de l’insomniaque qui ne sait plus se reposer et dort d’autant moins que sa fatigue est plus grande et qu’il s’en remet aux excitants (café, tabac, alcool, médicaments, déséquilibres alimentaires, etc.) pour tenter de compenser la perte de Vitalité...

La mélatonine, l’hormone du sommeil

Elle est sécrétée par l’épiphyse ou glande pinéale, la plus petite de nos glandes endocrines mais probablement la plus importante, située au centre du cerveau (dont le rôle a longtemps été ignoré). Elle stimule également le système immunitaire et participe à la lutte contre les radicaux libres. Cette hormone ne peut être sécrétée que dans l’obscurité, d’où l’effet néfaste de l’exposition tardive à un éclairage artificiel intense.

Un bon fonctionnement de la glande pinéale nécessite de s’exposer plusieurs fois par jour à la lumière du soleil et d’absorber une quantité suffisante de vitamines B (retrouvées en particulier dans la levure de bière, le germe de blé, les graines germées), nécessaires à la fabrication de la sérotonine (précurseur de la mélatonine, retrouvée dans le cacao) et du tryptophane (qui est un acide aminé essentiel, considéré comme un tranquillisant naturel par sa faculté à faire chuter le taux des catécholamines responsables de l’état d’éveil).

L’art de dormir

· Limiter les excitants en journée
· Tenter la tête de lit orientée au Nord/Nord-Est
· Limiter les installations électriques dans la chambre et utiliser un dispositif permettant de ne pas avoir de courant résiduel dans les fils électriques
· Éviter les matelas en mousse (électricité statique) et privilégier les oreillers «anatomiques», ainsi qu’un lit suffisamment large pour pouvoir s’y retourner facilement
· Ne pas hésiter à utiliser une bouillotte en cas de pieds froids
· Aérer suffisamment la chambre
· Privilégier des lits jumeaux si votre conjoint est particulièrement remuant … voire des chambres séparées si vous êtes gêné par les ronflements de votre conjoint!
· Se coucher plutôt sur le côté droit en cas de troubles digestifs
· Se préparer au sommeil: faire de l’exercice dans la journée, éviter les activités mentales soutenues le soir, entretenir des idées ou images agréables, légères, et joyeuses dans la soirée
· Manger léger et tôt le soir (2-3H avant le coucher)

Les plantes qui favorisent le sommeil

· Laitue fraîche au dîner (en début de repas)
· Infusion de menthe (une pincée par tasse), 1/2H avant le coucher
· Infusion de feuilles d’oranger (2 g par tasse), au coucher
· Infusion de camomille (une cuillère à thé par tasse), au coucher
· Décoction de lavande (faire bouillir une pincée dans une tasse d’eau), au coucher

Si besoin, préférer le miel d’acacia, le sirop d’agave ou le sirop d’érable pour sucrer infusions et décoctions!

Bain complet au tilleul pendant 20 min juste avant le coucher: laisser macérer 12 heures 100 g de fleurs de tilleul séchées dans de l’eau froide. Réchauffer cet extrait et le mélanger à l’eau du bain. Intérêt pour un enfant +++ (ne pas l’essuyer mais l’envelopper dans un peignoir de bain et le coucher directement)


Exercices simples pour induire le sommeil

La 1ère chose à faire en se couchant est de se détendre spontanément, ou par …

· une relaxation progressive: commencez par contracter les muscles de la main gauche en serrant le poing durant quelques secondes puis relâcher. Continuez avec tout le membre supérieur gauche et relâchez. Faites de même de l’autre côté puis passez aux pieds et aux membres inférieurs. Passez en revue tout le corps et terminez par la tête et le cou (si vous arrivez jusque là sans vous être endormi!)

· une respiration profonde: pratiquée lentement, en laissant les côtes et l’abdomen se soulever et s’abaisser naturellement (vous pouvez y rajouter une récitation mentale, comme un mantra, pour bien fixer votre attention sur la respiration: par ex. «INSPIR» à l’inspiration & «EXPIR» à l’expiration)

· la respiration « par le corps »: imaginez que vous inspirez doucement mais profondément par l’extrémité des doigts, en englobant progressivement dans votre inspiration les bras, puis les épaules, …, puis le torse, l’abdomen, les jambes, … jusqu’aux orteils (vous pouvez y associer une visualisation où vous êtes confortablement étendu au calme, dans un endroit chaud et sécurisant comme sur une plage, sous un bel arbre, …)



mercredi 20 octobre 2010

Créativité, originalité, idées... laissons s'exprimer notre Imagination pour chasser la banalité!

La Créativité est le moteur de notre Vie mais nous n'en sommes pas toujours conscients car nous restons empêtrés dans nos principes, nos préjugés ... pour ne pas sortir du cadre des "normes" imposées par la société, notre culture, notre éducation ou par nous-même! Alors nous enfermons notre Intuition et notre Créativité à double-tour au plus profond de nous car cela nous donne l'illusion d'être plus "confortable" et plus "convenable".

L'important est d'accepter de faire Confiance à la Vie et de laisser se développer les Dons dont elle nous a fait cadeau afin qu'ils ne restent pas inutilement enfouis mais qu'ils participent à notre Epanouissement et que nous en fassions profiter ceux qui nous entourent !

Comme Yaovi, un artiste aux multiples Richesses intérieures, qui a fait de la Créativité son métier, faisons de la Créativité un moteur à chaque instant de notre Vie pour chasser la banalité ....en laissant s'exprimer notre Imagination... Laissez-vous embarqué(e) pour une navigation dans l'Univers de l'Artiste... de la photographie à l'écriture, de la peinture à la sculpture, avec une touche de poésie... ==>  http://www.yaovi.com/site/index.php

mardi 12 octobre 2010

La mémoire

Qu’est-ce que la mémoire?

La mémoire est une faculté qui commence à s’élaborer au stade de l’embryon. Elle se construit ensuite dès la naissance et se modèle en fonction des capacités personnelles, de la culture, de l’environnement, ainsi que des surprises et des mystères que la Vie nous réserve.

Notre mémoire ne fonctionne pas de la même manière à tous les âges. Différents aspects de la mémoire sont concernés selon les étapes de la Vie:
· accumulation pendant la jeunesse
· utilisation à l’âge adulte
· récapitulation au 3e âge de la Vie (qu’est-ce que j’ai fait de ma Vie? Quel sens je lui ai donné?)

Les maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson représentent un défi important pour les sociétés occidentales.

Chacun à son niveau peut agir en utilisant davantage tous ses organes de relation avec le milieu extérieur (nos 5 sens) et aussi ses facultés cérébrales: la mémoire, l’imagination, la déduction, l’attention.

La mémoire permet d’enregistrer, de stocker et de récupérer des informations, son fonctionnement pouvant se comparer à celui du disque dur d’un ordinateur, les données entrant par des « canaux ». Chez l’Homme, ces « canaux » sont les fibres nerveuses qui reçoivent des messages sensoriels depuis les récepteurs visuels, auditifs, olfactifs, tactiles et gustatifs. Les informations sont ensuite transmises au cortex cérébral qui les traduits en perceptions. Le cerveau compare ensuite les nouvelles acquisitions sensorielles à des expériences mémorisées antérieurement et qui sont devenues des connaissances permettant à l’individu de fournir des réponses, adaptées ou non.

Il existe 2 grands systèmes de mémoire:
· implicite: concerne les procédures motrices, elle est automatique, inconsciente et permet les apprentissages (de la marche, etc.)
· explicite: fait appel à la conscience et permet de hiérarchiser, catégoriser, classer les informations dans les rayonnages de notre mémoire, constituant ainsi la structuration mentale

La quasi-totalité de nos actions quotidiennes sont automatiques, il n’y a approximativement que 10% de véritable réflexion chaque jour.
  


Les facultés de mémorisation

Le mode de Vie des sociétés occidentales incite à la dispersion mentale, elle « détruit » l’Unité de l’Être. Se recentrer, prendre l’habitude de vivre le moment présent permet l’accueil de toutes nos sensations.

La motivation est la 1ère condition indispensable à la « fixation »: plus le degré de motivation est élevé, plus l’apprentissage et la mémoire s’améliorent : l’attention est d’autant plus grande qu’il y a intérêt à retenir l’information. Elle peut cependant être inhibée par l’anxiété, la fatigue ou les préoccupations personnelles.

La répétition est un facteur d’apprentissage et de mise en mémoire.

La bonne humeur joue un rôle primordial: être positif et optimiste permet de garder longtemps une bonne mémoire!

Le contexte émotionnel joue un rôle important dans la récupération de l’information: il suffit d’une émotion forte pour oublier! Nous jonglons en permanence entre affectivité et mémoire.

La réceptivité est un état actif et conscient: c’est être relié à nos sensations et aux autres. La qualité de l’attention détermine la qualité de gestion du traitement de l’information reçue.
Chacun d’entre-nous a un profil de mémorisation: plutôt visuel, auditif ou moteur.

De l’oubli à l’amnésie

Les motifs d’oubli le plus souvent évoqués sont l’oubli du nom, de mots, d’évènements plus ou moins récents. L’oubli bénin est une perte de mémoire touchant les évènements quotidiens: souvenirs qui font défaut au moment opportun mais qui reviennent après un temps de latence.

La diminution de l’activité professionnelle sans autre activité, la réduction des contacts sociaux, de la cellule familiale, le départ à la retraite, etc. peuvent avoir pour conséquence d’entraîner progressivement un ralentissement global de l’activité, dont les répercussions se traduisent par une certaine lenteur de tous les processus, qu’ils soient mentaux ou physiques.

Un trouble de la mémoire n’est pas obligatoirement un signe de maladie neurodégénérative. L’amnésie la plus répandue est l’amnésie de fixation, qui correspond à l’impossibilité d’acquérir de nouveaux souvenirs, elle est aggravée si elle est associée à un effacement partiel ou global des évènements anciens.

La « malnutrition cérébrale » peut être à l’origine de troubles de la mémoire (carence ou déséquilibre en acides gras essentiels, intoxication chronique par tabac, alcool, drogues, etc.).


Comment préserver son capital mémoire ?

En préparant son Corps et son Esprit à un état de réceptivité maximale car la mémorisation est probablement la fonction cérébrale la plus sollicitée au quotidien: qu’il s’agisse d’actes conscients ou non, d’activité physique ou psychique.

Le cerveau consomme 20% de l’oxygène utilisé par l’ensemble de l’organisme.

L’hygiène de Vie est primordiale car le fonctionnement de la mémoire est au carrefour de la biologie et de la psychologie:
· manger sain et équilibré selon des principes diététiques qualitatifs plus que quantitatifs ou caloriques, sans se laisser influencer par la pression des lobbies! Fruits et légumes frais, levure de bière, germe de blé et jaune d’œuf, OMEGA 3 des graines et oléagineux, huiles végétales vierges dont le colza ++ et des poissons « gras » tels que saumon, sardines, thon, maquereau, limiter la proportion de viande (privilégier les volailles aux mammifères) et produits laitiers
· privilégier le cru ou les modes de cuisson douce
· hydrater correctement son organisme
· éviter les ennemis de la mémoire: tabac, alcool, médicaments psychotropes
· organiser un sommeil récupérateur
· éviter les situations de stress
· lutter contre l’inactivité et la sédentarité, contre l’isolement

Suggestions pour aider votre mémoire

-       Faites des associations d'idées, un peu comme des points de repère pour vous aider à vous retrouver.
-       Lorsque vous rencontrez de nouvelles personnes, répétez leurs noms.
-       Faites des activités qui occupent votre corps et votre esprit.
-       Récitez les lettres de l'alphabet pour vous rappeler les mots dont vous avez de la difficulté à vous souvenir.
-       "Entendre" la première lettre d'un mot pourra vous rafraîchir la mémoire.

En couple, aimer vraiment c'est ...

· Réaliser que notre relation amoureuse a un but caché: guérir nos blessures d’enfance à tous les deux
· Essayer d’approcher la vérité de notre partenaire: en nous débarrassant de nos illusions et de nos projections
· Communiquer nos besoins et nos désirs à notre partenaire
· Veiller à construire notre relation et à la travailler jour après jour
· Comprendre que les désirs et les besoins de notre partenaire ont autant d’importance que les nôtres
· Apprendre à connaître nos zones d’ombre pour ne pas les projeter sur notre partenaire
· Avoir confiance en l’autre et abandonner nos tactiques autodestructrices
· Chercher en soi les forces et les aptitudes qui nous manquent et ne pas attendre que l’autre nous complète
· Aimer de façon inconditionnelle
· Accepter la difficulté d’aimer vraiment

Pour une Vie simple

DEFINIR SES PRIORITES

· Intentions « honnêtes et sincères »
· Absence de possessions qui ne soient pas directement reliées au but principal de Vie que l’on a l’intention d’atteindre: « désencombrement mental et vide-grenier »
· Désirs et Énergies orientées vers les priorités de Vies poursuivies dans l’authenticité de notre Être profond
· Restrictions dans certains domaines (matériel) en vue d’assurer une plus grande abondance de vie dans d’autres (amour, amitié, vie spirituelle, etc.): toute la Vie n’est qu’une succession de choix. Si nous ne parvenons pas à effectuer des choix clairs, nous perdons de l’Énergie dans les tergiversations et l’indécision.
· Organisation délibérée de sa Vie pour la réalisation du but de Vie choisi: après avoir défini notre objectif de
Vie, le principe est d’avancer avec méthode et discipline pour permettre une économie de moyens et d’Énergie, pouvant alors être investis dans nos priorités

La vraie Richesse, c’est le contentement intérieur! Avoir assez ne signifie pas avoir la quantité minimum pour survivre mais la quantité exacte qui donne une réelle satisfaction sans excès.

TOUT EST DANS LA VISION

C’est la vision qui nourrit la motivation et l’engagement, qui sont indispensables pour réaliser un projet à long terme. Cette vision peut être l’extraordinaire sérénité mentale que permet une Vie plus simple pour voyager « léger ».

L’INTEGRITE

C’est une qualité qui consiste à résonner avec la fibre la plus profonde de notre Être en suivant à tout moment notre plus haute idée de ce qui est juste. L’intégrité consiste à refuser de tricher avec soi-même, de se mentir à soi-même ou de demeurer dans la pénombre des demi-vérités. Se tromper par rapport à soi-même fait disparaître le discernement qui est à la base du vrai jugement et qui permet un vrai choix. L’intégrité constitue la moelle de notre identité, la fondation de toutes nos qualités.

Vivez votre Vie telle que vous la voulez, non telle que les conventions le suggèrent.


Les 10 questions que se pose un Consom’Acteur de Vie Simple
1) Ai-je vraiment besoin de cet achat?
2) Est-ce que cet achat va m’aider à simplifier ma Vie?
3) Pourquoi est-ce que veux l’acheter? Pour compenser un manque affectif, par déception, par désir de statut social, parce-que je croit que cela va renforcer positivement l’image que j’ai de moi-même, parce-que je me suis laissé(e) influencé(e) par la publicité, …?
4) Quel est l’impact écologique de l’achat que j’envisage? Y compris sur les générations à venir.
5) Vais-je l’utiliser suffisamment souvent pour justifier la dépense consentie?
6) Pourrai-je consacrer suffisamment de temps sans arrière-pensée son utilisation ?
7) Les conditions de production sont elles respectueuses des travailleurs?
8) Dans quelles conditions écologiques l’objet a-t-il été produit?
9) Son utilisation m’aidera-elle à renforcer mes priorités de Vie? Est-elle cohérente avec mes aspirations profondes?
10) Puis-je posséder cet objet ou l’utiliser sans « être possédé ou utilisé » par lui?
Le bulletin des Ateliers

dimanche 10 octobre 2010

La vitamine C anti-stress

La Vitamine C ou acide ascorbique est un glucoside. C’est un co-facteur enzymatique « atoxique et physiologique », à considérer en fait plutôt comme un nutriment (absorbée au niveau intestinal selon le même mécanisme que pour le glucose et les acides aminés) jouant un rôle de régulateur métabolique permettant la formation et la restauration des muqueuses et du tissu conjonctif (par le collagène) sur lequel se déposent les minéraux. L'état du collagène est dépendant du taux de vit.C et  entretient ainsi un rapport étroit avec le phénomène du vieillissement.

Avant de jouer son rôle d’antioxydant, la vit.C est stockée dans les cellules, en particulier dans les globules blancs, pour permettre le nettoyage des toxines et des résidus de la combustion cellulaire.

Contrairement aux animaux, l’Homme n’a pas la capacité de synthétiser la vit. C (mutation génétique?) et se retrouve de nos jours en sub-carence quasi permanente, ce qui peut favoriser la survenue de maladies aiguës et prépare le terrain des maladies chroniques.

La vit.C est présente dans les fruits et légumes frais (particulièrement dans les légumes à couleur vive ou foncée, comme les végétaux à chlorophylle, et dans les caroténoïdes) et les graines germées, mais quasiment absente lorsque les fruits et légumes sont secs et fanés. Elle est hydrosoluble et très sensible à la chaleur et à l’air.
En médecine ortho-moléculaire (cf. Linus PAULING, prix nobel de chimie et prix nobel de la Paix), il est préconisé d’en consommer entre 3 et 18 grammes par jour (!), doses calculées par comparaison aux « auto productions » des animaux qui ont la capacité de la synthétiser au niveau du foie (production majeure en périodes de stress).  Les apports journaliers recommandés (AJR), calculés après la dernière guerre mondiale uniquement dans l’objectif de prévention de l’apparition de maladies de carences et non d’apport optimal, sont de 110mg/j pour un adulte. Ce chiffre a été évalué avant 1950, à une époque où les pollutions diverses étaient bien inférieures à l’époque actuelle et où la préoccupation était d’éviter les états de carences à court terme et non de favoriser un état de santé optimal à long terme.

Prise à trop petites doses, la vit.C provoque un état d’excitation et d’énervement, comme dans un syndrome de manque. En augmentant les doses journalières, la vit.C provoque au contraire une tendance à l’apaisement par l’augmentation, en quelques jours, du seuil de tolérance au stress. Il peut y avoir un effet pseudo-dopant initial lié à la réactivation du système endocrinien au niveau de l’hypophyse et des surrénales, avant stabilisation et apparition de l’effet normalisateur et anxiolytique. Lors de l’augmentation des doses journalières de vit.C, il peut également y avoir apparition de troubles hépato biliaires passagers (à l’origine de maux de ventre, ballonnements, aigreurs d’estomac et éructations), le temps nécessaire au système digestif de retrouver un fonctionnement « normal » et de diarrhées transitoires, le temps que l’intestin grêle optimise sa capacité à résorber activement la vit.C.

Pour optimiser la restauration tissulaire, équilibrer les fonctions cérébrales & éviter les troubles du sommeil, réguler le métabolisme des lipides, consolider le système ostéoarticulaire et le système cardiovasculaires, renforcer le système immunitaire, mieux éliminer les métaux lourds, etc., il est préconisé de consommer quotidiennement de la vit.C [dont l'action est optimisée par la prise de sélénium, zinc et vit. E]

NB: tabac, alcool et contraceptifs oraux et anti-inflammatoires augmentent fortement les besoins en Vit.C

Les nuisances électromagnétiques d'origine naturelle et industrielle

Energies Telluriques

Le champ électrique à la surface de la Terre est lié à la présence de charges électriques dans la haute atmosphère. Une des manifestations en cas d’orage est l’éclair.
Le champ magnétique terrestre est produit par les courants du magma en fusion dans le noyau de la Terre et par les courants électriques que cela génère. C’est lui qui oriente l’aiguille de la boussole.
Nous n’avons qu’une connaissance partielle des différents mouvements de matière se produisant à l’intérieur de la Terre, mais nous en constatons certains effets: tremblements de terre, éruptions volcaniques, tectonique des plaques.
Les failles et les zones de failles forment un réseau tellurique qui couvre la surface de la terre et qui permet le dégagement d’énergie de l’intérieur de la terre vers la surface.
L’activité intérieure de la Terre dépend aussi de facteurs extérieurs: influence du soleil, de la lune et d’autres facteurs. Il peut y avoir des dégagements d’énergie instantanés et limités dans l’espace pendant les séismes.

Nuisances naturelles et industrielles

Au niveau des zones géodynamiques qui constituent le réseau tellurique, il peut y avoir dégagement de différentes sortes de gaz, comme le radon, ou des émissions d’ondes électromagnétiques naturelles pulsées, à basse fréquence. Ces ondes peuvent entrer en résonance avec les fréquences de fonctionnement des organes des êtres vivants.
En effet, les cellules vivantes de notre corps et de tous les êtres vivants génèrent des courants électriques et donc des champs électriques et magnétiques (cf. électrocardiogramme, électroencéphalogramme).

A ces nuisances naturelles qui existent depuis la création de la terre s’ajoutent des nuisances d’origine industrielle. Les nuisances d’origine industrielle peuvent être liées à l’impact sur le sol d’installations telles que des pylônes électriques ou de radiophonie mobile, des éoliennes, etc., situés sur des croisements de veines d’eau.
Réf. « Phénomènes négatifs sur la santé des hommes et des animaux liés aux antennes relais installées à grande distance », Alexandre Rusanov et Jean Uguen - congrès de Bucarest avril 2007

Impact des nuisances naturelles et industrielles sur les êtres vivants

Différents troubles ont été constatés dans des élevages, comme des troubles du comportement (agressivité), une augmentation du nombre de leucocytes (globules blancs) dans le lait de vache, des mammites, des problèmes de reproduction, de croissance, etc.

Chez certaines personnes, des réactions variées ont été observées, telles que fatigue, troubles du sommeil, maux de têtes, anxiété, etc. Ces troubles peuvent sembler uniquement subjectifs. Il n’y a pas de lien clairement établi à ce jour avec les nuisances naturelles ou industrielles mais il est vraisemblable que l’exposition chronique à des nuisances électromagnétiques épuise notre système immunitaire au long cours et favorise alors la survenue de phénomènes physiopathologiques variés selon les individus.

Champs de torsion gauches: « pompes » à énergie

L’homme vit depuis toujours dans un environnement électromagnétique naturel issu du champ magnétique terrestre. Depuis une trentaine d’années, viennent s’ajouter les ondes électromagnétiques propagées par les matériels qui entourent actuellement l’être humain au quotidien (ordinateurs, téléviseurs, téléphones mobiles,
radioréveils, véhicules de transport, etc.). Ces champs électromagnétiques artificiels sont plus puissants et plus agressifs que ceux d’origine naturelle: ce sont de véritable « pompes » à énergie.

Dans un champ électromagnétique, il y a différentes composantes: le champ électrique, le champ magnétique et les champs de torsion. La théorie des champs de torsion est une découverte récente des scientifiques russes G.I. Shipov et A.E. Akimov, encore peu connue. Il existe des champs de torsion gauches et des champs de torsion droits, selon le sens de rotation des électrons. Des médecins russes et ukrainiens ont prouvé l’influence négative des champs de torsion gauches sur les cellules vivantes.

Un champ de torsion droit stimule l’activité du vivant alors qu’un champ de torsion gauche l’annihile et devient ainsi une « pompe » à énergie qui diminue le tonus de la personne qui se trouve dans sa zone d’influence.

Ne pas confondre responsabilité et culpabilité

« JE » (chacun) est responsable de ses actes, de ses paroles, de ses pensées, de ses émotions et sentiments: responsable de leur «émission» mais pas de leur « interprétation » par autrui!

La façon dont chacun donne du sens à un événement dicte le ressenti qui sera éprouvé par rapport à cet événement, dont l’interprétation peut donc être variable (selon l’état émotionnel, le contexte, l’éducation, les expériences de Vie).

Chacun est responsable de ses choix personnels sans avoir à répondre des choix des autres et peut donc accepter d’avoir été le déclencheur de certaines réactions sans pour autant être considéré comme la cause de leurs attitudes.

Au-delà des sphères personnelles et en l’absence de trouble avéré de la personnalité, il y a la coresponsabilité ou responsabilité solidaire des relations que nous entretenons avec les autres: co-responsabilité de la QUALITE relationnelle et pas des émotions face à nos agissements.

Chaque personne qui appartient à un « système » (couple, famille, entreprise, …) porte une part de responsabilité (toute sa part mais que sa part !) quant au fonctionnement du système: cette co-responsabilité des interactions partagées confère à chacun la capacité d’y initier un changement.

Le « danger » est de glisser de la responsabilité (capacité de répondre de ses actes, donc de les assumer) à la culpabilité (« sentiments de culpabilité », endurés ou imposés …).

Quand toutes les responsabilités ne sont pas assumées, cela conduit à se positionner en victime, à adopter un comportement faisant «comme si je n’avais aucun choix » (alors qu’il n’y a pas de conséquence directe d’un fait extérieur). Ce rôle «de composition » est une abdication de son propre pouvoir de décision qui conduit à une perte de sa capacité à agir, qui elle permet de changer les choses autour de soi.

Quand un individu assume plus que ses responsabilités, un sentiment de culpabilité morbide risque de se développer, s’accompagnant à la longue non d’un pouvoir accru mais d’une impuissance par infantilisation d’autrui.

Les jeux de pouvoir favorisent l’immobilisme et la pérennisation de l’insatisfaction.

La culpabilisation est une pratique courante dans l’éducation puis dans les relations, utilisée comme une « arme » d’influence visant une modification du comportement dans le sens de la soumission et de l’obéissance (en particulier dans la culture Judéo-chrétienne avec tendance soit à culpabiliser les autres, soit à se culpabiliser soi-même).

Respecter l’autre, c’est respecter ses choix.
Opter pour le respect mutuel c’est préserver le Bien –Être de chacun dans la durée.


Quelques conseils

· dire « JE » pour exprimer ses émotions et sa subjectivité. Tout un travail « d’auto-apprivoisement » est nécessaire pour parvenir à gérer ses propres émotions: apprendre à les accueillir en soi et à tolérer leurs répercussions physiques et psychiques, apprendre à exprimer son ressenti sans attaquer ni agresser ses interlocuteurs et modifier son discours intérieur pour relativiser ses pensées
· renoncer au langage déresponsabilisant  (« on », « çà », etc.)
· dans le doute, privilégier les interprétations positives
· laisser les autres responsables de leurs émotions (celui qui décide d’un comportement en assume l’entière responsabilité)
· ne plus céder à la manipulation et formuler des demandes claires et explicites